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Deux clubs coriaces pour une seule place

  • Photo du rédacteur: Gabrielle St-Pierre
    Gabrielle St-Pierre
  • 24 avr. 2024
  • 2 min de lecture

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Crédits photo: Kassandra Blais

Arrêter les Eagles du Cap-Breton n’est pas une tâche facile depuis le début du bal printanier. L’équipe Cendrillon tombe toutefois nez à nez avec une équipe qui est inarrêtable depuis la cloche qui a annoncé les premiers coups de patin de la saison.


Le Drakkar et les Eagles semblent avoir eu des adversaires assez faciles depuis l’ouverture des séries éliminatoires. Bien que c’était prédictible que de jouer contre Charlottetown c’était un peu comme passer go et réclamer 200$, on s’attendait à une série avec un peu plus de piquant contre le Titan d’Acadie-Bathurst au deuxième tour. 


Pour les Eagles, l’Océanic aura été l’équipe leur donnant le plus de fil à retordre puisqu’ils auront forcé la tenue un cinquième match. C’est tout de même surprenant, surtout avec les performances des Saguenéens dans les derniers mois. Les oiseaux se seront bien régalés avec les bleuets au deuxième tour.


Deux équipes équilibrées

En ce moment, le Drakkar et les Eagles sont les deux équipes avec la meilleure fiche depuis le début des séries éliminatoires. Fait intéressant, c’est la troupe de Louis Robitaille qui possède le plus grand nombre de buts marqués (42 contre 37). Du côté des buts accordés, c’est assez serré alors que le Drakkar n’en a accordé qu’un de moins (18 contre 19).


L’échec avant et la profondeur des deux équipes sont bien réparties. On est solide de l’avant à l’arrière et un certain Nicolas Ruccia fait parler de lui. Ruccia connaît sa meilleure saison en carrière devant le filet, mais il semble avoir gagné en confiance en séries éliminatoires, alors qu’il possède un pourcentage d’efficacité de 0.923 et une moyenne de buts alloués de 2.12. Des performances meilleures que celles de son vis-à-vis, Charles-Edward Gravel.


Il ne faut pas mettre de côté le travail de la défensive du Drakkar qui joue un rôle crucial devant Gravel. La brigade défensive laisse très peu d’espace aux adversaires. 


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Avantage et désavantage numérique

C’est le secret le moins bien gardé, le Drakkar a été l’équipe la plus punie lors de la saison régulière, totalisant 818 minutes au cachot. La troupe de Jean-François Grégoire s’impose encore bien fort physiquement, mais heureusement elle n’est plus la plus punie.


Baie-Comeau possède un excellent désavantage numérique, mais les Eagles ont, de leur côté, possèdent le meilleur avantage numérique (36.0%) depuis le commencement des séries éliminatoires. Il faudra être prudent et ne pas se retrouver trop souvent au banc des punitions, chez le Drakkar.


C’est donc dire que ce ne sera pas un duel facile pour les deux formations qui auront assurément du pain sur la planche dans les prochains jours.


La série débute demain soir, 25 avril, à 19H00 en direct de Baie-Comeau.


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